par Aude
SILA ? La première montre-bijou mini et légère avec bracelet interchangeable. La marque s’est officiellement lancée en France il y a quelques mois avec un pop-up dans Le Printemps Haussmann. Pas mal comme premier emplacement hein ? Et des débuts sur les chapeaux de roues puisque le magasin leur a demandé, suite à leur succès, de rester un mois de plus que prévu. Et ce mois-ci, c’est ici , dans un pop-up store en partenariat avec Kapok, que SILA se lance avec ses montres pop mais chics.
Des produits féminins et chics mais pas chiants, j’avais forcément envie d’en savoir un peu plus. Rendez-vous pris avec les deux fondatrices, Alexandra et Karine. Première impression au top, je débarque en total look jaune (oui, j’ai osé), couleur qui s’avère être la préférée d’Alexandra. Ouais, j’ai passé l’examen d’entrée ! On papote et on se découvre pas mal de points communs dont une expérience professionnelle chez L’Oréal, où elles se sont rencontrées toutes les deux.
Et du coup, qu’est-ce qui vous pousse à quitter un job que vous aimez (toutes les deux ayant adoré leur expérience pro chez le géant de la cosmétique) pour se lancer dans l’aventure complètement folle de l’entrepreneuriat ? Pas mal de choses finalement ! L’envie de créer, une envie que Karine avait depuis un petit moment puisqu’elle bossait avant SILA sur un autre projet de marque. Le désir d’être son propre boss. Mais aussi un joli facteur chance et une question de timing.
Et pourquoi lancer une montre en produit phare ?
C’est en arpentant les marchés vintage de Tokyo qu’elles sont tombées amoureuses de modèles de montres vintages, datant du début du 20eme siècle. Des petits bijoux, fins et très délicats. Si délicats qu’on en oublie qu’elles sont sur le poignet. Un vrai coup de cœur qui leur a donné l’idée de SILA. Le challenge a alors été de s’inspirer de ses montres pour créer un modèle élégant mais plus moderne, plus fun.
Vous vous êtes déjà un peu posé sur les marques de montres qui cartonnent en ce moment ? Pas chez les horlogers et les marques de luxe mais en middle-gamme. Jetez-y un œil, vous verrez. On est plutôt sur des modèles assez gros, plutôt unisexes. SILA c’est l’opposé.
Et la suite alors ? Oulahlah … par où commencer ? Mais en tout cas de belles choses en discussions, à Paris (où est repartie vivre Karine) et à Hong Kong (où est toujours basée Alexandra).
Marrant de voir comme une discussion « boulot » peut vite se transformer en discussion perso. Mais en même temps, être entrepreneur c’est aussi ne plus toujours faire la distinction entre le perso et le pro. C’est parfois courir dans tous les sens et finalement avoir beaucoup de nouvelles excuses pour dire : Sorry I’m Late Again
SILA ? La première montre-bijou mini et légère avec bracelet interchangeable. La marque s’est officiellement lancée en France il y a quelques mois avec un pop-up dans Le Printemps Haussmann. Pas mal comme premier emplacement hein ? Et des débuts sur les chapeaux de roues puisque le magasin leur a demandé, suite à leur succès, de rester un mois de plus que prévu. Et ce mois-ci, c’est ici , dans un pop-up store en partenariat avec Kapok, que SILA se lance avec ses montres pop mais chics.
Des produits féminins et chics mais pas chiants, j’avais forcément envie d’en savoir un peu plus. Rendez-vous pris avec les deux fondatrices, Alexandra et Karine. Première impression au top, je débarque en total look jaune (oui, j’ai osé), couleur qui s’avère être la préférée d’Alexandra. Ouais, j’ai passé l’examen d’entrée ! On papote et on se découvre pas mal de points communs dont une expérience professionnelle chez L’Oréal, où elles se sont rencontrées toutes les deux.
Et du coup, qu’est-ce qui vous pousse à quitter un job que vous aimez (toutes les deux ayant adoré leur expérience pro chez le géant de la cosmétique) pour se lancer dans l’aventure complètement folle de l’entrepreneuriat ? Pas mal de choses finalement ! L’envie de créer, une envie que Karine avait depuis un petit moment puisqu’elle bossait avant SILA sur un autre projet de marque. Le désir d’être son propre boss. Mais aussi un joli facteur chance et une question de timing.
Et pourquoi lancer une montre en produit phare ?
C’est en arpentant les marchés vintage de Tokyo qu’elles sont tombées amoureuses de modèles de montres vintages, datant du début du 20eme siècle. Des petits bijoux, fins et très délicats. Si délicats qu’on en oublie qu’elles sont sur le poignet. Un vrai coup de cœur qui leur a donné l’idée de SILA. Le challenge a alors été de s’inspirer de ses montres pour créer un modèle élégant mais plus moderne, plus fun.
Vous vous êtes déjà un peu posé sur les marques de montres qui cartonnent en ce moment ? Pas chez les horlogers et les marques de luxe mais en middle-gamme. Jetez-y un œil, vous verrez. On est plutôt sur des modèles assez gros, plutôt unisexes. SILA c’est l’opposé.
Et la suite alors ? Oulahlah … par où commencer ? Mais en tout cas de belles choses en discussions, à Paris (où est repartie vivre Karine) et à Hong Kong (où est toujours basée Alexandra).
Marrant de voir comme une discussion « boulot » peut vite se transformer en discussion perso. Mais en même temps, être entrepreneur c’est aussi ne plus toujours faire la distinction entre le perso et le pro. C’est parfois courir dans tous les sens et finalement avoir beaucoup de nouvelles excuses pour dire : Sorry I’m Late Again
