Escapade londonienne : une nuit au W London

22 Février 2023


Version originale par Gayatri Bhaumik
Traduit de l’anglais au français par Aude Camus
 
S’il fallait prouver l’adage selon lequel en immobilier, et notamment dans l’hôtellerie, l’emplacement est clé, le W London serait en pole position.  Se dressant fièrement sur Wardour Street, l’établissement hyper moderne peut se targuer d’un emplacement de choix, aux portes de Soho et Chinatown et à quelques minutes à pied des théâtres du West End.
 
Ne vous fiez pas à son look de monstre d’acier et de verre, l’hôtel s’intègre parfaitement à l’agitation du centre de Londres et il se peut même que vous passiez devant sans vous en apercevoir. Mais si vous poussez les portes de verre, le bruit de la foule ne vous paraitra qu’un lointain souvenir alors que vous vous laissez porter par une bande son entrainante et appréciez la décoration d’intérieure travaillée.
 
Le check-in est simple et rapide. Votre chambre n’est pas encore prête ? Ce n’est pas un problème, l’équipe vous invite à prendre place au Perception Bar. Dans un décor futuriste, ambiance navette spatiale, vous patientez en sirotant une coupe de Champagne.
 
Avec 192 chambres et suites, vous avez l’embarras du choix. 
 

L’une des nouveautés de l’hôtel c’est la Gaming Suite. Comme son nom l’indique, cette suite (la première de son genre au Royaume-Uni) est dédiée aux amateurs de gaming et vous y trouverez notamment un TV Samsung Odyssey Ark, une Xbox, un PC CyberPower et une chaise Secret Lab TITAN Evo. Si le reste des chambres et suites se veut moins geek, vous n’y trouverez pas moins tous les équipements que l’on peut attendre dans un hôtel de cette catégorie. Et pour les habitués, il y a cette l’identité fortement marquée de l’hôtel qui est une signature W.
 

Par exemple, sur le gigantesque lit de ma Wonderful Room, je découvre un oreiller noir qui ressemble, ni plus ni moins, à un porc-épic. Une petite note m’apprend que cet oreiller est le résultat d’une collaboration avec Jack Irving, « fashion fantasist and artist » anglais, et qu’il est dans une matière innovante. Allumez le flash de votre appareil photo et votre oreiller se met à briller comme une boule disco.
 
Les touches W ne manquent pas dans l’hôtel. Cela va des œuvres d’art provocatrices et suspensions lumineuses aux nombreuses prises de courant disponibles et au minibar rempli de petits plaisirs coupables. Presque tout dans la chambre est contrôlé via un IPad, renommé Digivalet. En quelques clics vous pouvez allumer la tv, régler l’éclairage et la température, lancer Netflix et commander un room service. Pour ceux qui aiment voir et être voir, le Digivalet est également une mine d’informations. Vous y trouverez les dates des évènements se déroulant dans l’hôtel ainsi que des recommandations de bars, restaurants et spectacles à réserver.
 
La chambre est confortable mais son organisation peut cependant surprendre. Au centre la pièce, un ilot sert à la fois de bureau d’un côté et de coiffeuse/lavabo de salle de bain de l’autre. La douche et les toilettes sont cachés derrière une porte miroir.    
 
 Difficile d’explorer tout ce que l’hôtel a à offrir en n’y restant qu’une seule nuit. J’ai choisi de profiter de ma chambre en commandant croissants et café au lit. Mais le buffet petit-déjeuner, qui propose aussi bien des options gourmandes que des alternatives plus saines, est servi au restaurant Perception (tout comme le déjeuner, le diner et le brunch). J’ai également passe une tête dans la salle de gym, équipée comme il se doit, et rêvé d’avoir le temps de profiter d’un des massages du AWAY Spa.

Londres est une ville qui ne manque pas d’hôtels et que vous recherchiez un palace ou une adresse confidentielle, vous trouverez de quoi vous satisfaire. Ce qui fait du W London une option à mettre sur votre liste c’est son offre de chambres modernes agrémentées d’une touche de fun et son emplacement de choix en plein cœur de la capitale.
 

https://www.marriott.co.uk/hotels/travel/lonhw-w-london/

 
 
Cet article s’appuie sur une nuit offerte. Il n’a pas donne lieu a une rémunération financière et l’avis exprimé y est 100% celui de son auteur.


 

À propos de Gayatri Bhaumik 

Toujours prête pour une nouvelle aventure, Gayatri  Bhaumik a pris son premier avion quand elle avait 10 jours et n’a jamais cessé de voyager depuis. Après de longues escales à Bangkok, Melbourne et Londres, elle est aujourd’hui basée à Hong Kong. Elle écrit pour des publications voyages et lifestyle telles que Travel + Leisure SEA, ECHELON, Elite Traveler, Forbes Travel Guide et Destination Deluxe. Elle est également la fondatrice de The Wordsmith’s Ink, une agence de copywriting et community management, via laquelle elle travaille avec des clients comme Shangri-La Hotels et Shopify.




 

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